"L'Énigme de la Faculté" est une pièce de théâtre captivante mettant en scène trois personnages principaux et d'une durée de dix minutes. L'histoire se déroule dans une petite faculté universitaire remplie d'étagères chargées de livres anciens. Au centre de la pièce, une grande table est entourée de piles de livres et de parchemins.
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Une petite faculté universitaire remplie d'étagères chargées de vieux livres. Au centre, une grande table avec des piles de livres et des parchemins. (Le Professeur Archibald est assis à la table, absorbé par la lecture d'un vieux grimoire. Charlotte entre discrètement et observe le professeur.)
Charlotte : (chuchotant) Professeur Archibald, je suis si heureuse de vous avoir enfin trouvé ici.
Professeur Archibald : (sursaute) Bon sang, Charlotte, vous m'avez fait sursauter ! Que faites-vous ici ?
Charlotte : J'ai entendu parler d'une énigme mystérieuse liée à cette faculté. On dit qu'elle renferme le secret d'une ancienne confrérie secrète.
Professeur Archibald : (intrigué) Vous êtes bien renseignée, jeune fille. Mais cette énigme est loin d'être simple à résoudre.
Charlotte : Je suis prête à relever le défi, professeur. J'ai découvert ce vieux parchemin caché dans un livre et je crois qu'il pourrait être un indice.
Professeur Archibald : (examine le parchemin) Intéressant. Il semblerait que ce soit un code secret. Regardez ces symboles étranges. Gardien !
(Le Gardien de la faculté s'approche en traînant les pieds.)
Gardien : Quoi encore ? Je suis occupé, vous savez.
Professeur Archibald : Pouvez-vous nous fournir des informations sur ces symboles, Gardien ? Ils pourraient détenir la clé de l'énigme de la confrérie.
Gardien : (scrute le parchemin) Hmm, ces symboles ressemblent à un langage codé utilisé par les membres de la confrérie. Mais je ne peux pas vous en dire plus. C'est interdit.
Charlotte : S'il vous plaît, monsieur le Gardien, c'est pour la quête de la connaissance. Nous ne dévoilerons rien de compromettant.
Gardien : (après une pause) Très bien. Ce code correspond à une séquence de livres spécifiques sur ces étagères. Mais ne touchez à rien d'autre, sinon vous le regretterez.
(Le Professeur Archibald et Charlotte commencent à chercher les livres selon la séquence indiquée sur le parchemin.)
Professeur Archibald : (en sortant un livre) J'ai trouvé le premier !
Charlotte : (trouvant un autre livre) Et j'ai trouvé le deuxième ! Nous y sommes presque.
(En assemblant les livres dans l'ordre, un tiroir secret s'ouvre révélant un vieux manuscrit.)
Professeur Archibald : (émerveillé) Regardez ça, Charlotte. C'est le manuscrit perdu de la confrérie. Nous sommes sur le point de découvrir ses secrets.
Charlotte : (excitée) C'est incroyable, professeur ! Je suis tellement reconnaissante de pouvoir vivre cela.
(Le professeur et Charlotte commencent à lire le manuscrit ensemble, plongeant dans les mystères de l'ancienne confrérie. Le Gardien observe, satisfait d'avoir pu contribuer à cette quête de connaissance.)
Gardien : (d'une voix rauque) Très bien, puisque vous avez trouvé ce parchemin, je vais vous raconter l'histoire que peu connaissent. Asseyez-vous, écoutez attentivement.
(Le Professeur Archibald et Charlotte se rassemblent autour de la table, captivés par l'histoire à venir.)
Gardien : Il y a de nombreuses années, bien avant que cette université ne soit fondée, cette faculté était en réalité le repaire d'une mystérieuse confrérie. Cette confrérie était composée de sages et d'érudits qui cherchaient à préserver des connaissances anciennes et interdites, des secrets qui pourraient changer le cours de l'histoire.
Professeur Archibald : (intrigué) Des secrets interdits, dites-vous ?
Gardien : Oui, Professeur. Ces sages croyaient que certaines vérités devaient être gardées hors de portée du monde, pour éviter qu'elles ne tombent entre de mauvaises mains. Ils ont créé ce code secret que vous avez trouvé pour protéger leurs découvertes les plus précieuses.
Charlotte : (émerveillée) C'est incroyable ! Et que sont devenus ces membres de la confrérie ?
Gardien : (d'une voix plus sombre) C'est là que l'histoire prend un tournant sinistre. La confrérie a été trahie de l'intérieur. L'un des leurs, avide de pouvoir, a révélé leur existence à des forces obscures qui convoitaient leurs connaissances. Une bataille épique a eu lieu ici, dans ces murs, entre les membres de la confrérie et les forces sombres.
Professeur Archibald : Et que s'est-il passé ensuite ?
Gardien : La confrérie a été presque entièrement anéantie. Seuls quelques membres ont survécu et ont réussi à cacher leurs secrets dans ce tiroir secret que vous avez découvert. Les forces obscures ont été repoussées, mais la faculté a été scellée, et les connaissances ont été préservées, attendant le jour où quelqu'un de digne viendrait les dévoiler.
Charlotte : (émue) C'est une histoire incroyable. Et le Gardien de la faculté… c'est vous qui avez pris la relève pour protéger ces secrets ?
Gardien : (humblement) Oui, c'est exact. Je suis le gardien de cette faculté depuis de nombreuses années. Mon devoir est de préserver les connaissances et d'empêcher que l'histoire se répète. C'est pourquoi je vous ai aidés à résoudre l'énigme. Si vous êtes prêts à assumer la responsabilité de ces connaissances, vous les méritez.
Professeur Archibald : (sérieux) Nous acceptons cette responsabilité, Gardien. Nous utiliserons ces connaissances avec prudence et respect.
Charlotte : (déterminée) Nous honorons la mémoire de la confrérie en continuant leur quête de la connaissance.
Gardien : (sourit légèrement) Alors, que l'histoire continue. N'oubliez jamais que le savoir est une arme puissante, et il doit être manié avec sagesse.
Professeur Archibald : (après avoir entendu l'histoire du Gardien) Une histoire fascinante, sans aucun doute, mais permettez-moi d'apporter un éclairage scientifique à ces récits de confrérie et de mystères.
Gardien : (curieux) Allez-y, Professeur. Je suis ouvert à vos perspectives.
Professeur Archibald : Naturellement, l'histoire que vous avez partagée est enveloppée de mystère et de romantisme, mais permettez-moi de vous présenter une analyse rationnelle. Il est indéniable que des confréries secrètes ont existé à travers l'histoire, mais elles étaient souvent des groupes de personnes partageant des intérêts communs ou protégeant des connaissances restreintes.
Charlotte : (intriguée) Alors, vous pensez que cette confrérie et son histoire pourraient être basées sur des faits réels ?
Professeur Archibald : Eh bien, il est possible que la confrérie ait été une société secrète ayant existé autrefois. Cependant, il est crucial de dissocier les faits avérés de la légende qui peut se former autour de ces groupes. La notion de secrets interdits et de batailles épiques pourrait être amplifiée au fil du temps. Mon rôle en tant que chercheur est de dévoiler la vérité derrière ces histoires, en utilisant des méthodes scientifiques rigoureuses.
Gardien : (réfléchissant) Vous évoquez un point valide, Professeur. Alors, comment abordez-vous la découverte du tiroir secret et du manuscrit ?
Professeur Archibald : C'est là que la science entre en jeu. Nous devrons étudier ce manuscrit avec attention, analyser son contenu, le comparer à d'autres documents historiques, linguistiques et culturels de la même période. Cela nous aidera à établir la véracité de ces informations et à comprendre le contexte dans lequel ces événements se sont déroulés.
Charlotte : (enthousiaste) Donc, en combinant vos méthodes scientifiques avec le récit du Gardien, nous pourrions découvrir une partie de la vérité derrière cette histoire.
Professeur Archibald : Exactement, Charlotte. La vérité est souvent complexe et nuancée, et notre quête est d'atteindre une compréhension plus profonde de ces événements. En fin de compte, la science et l'histoire sont des outils puissants pour séparer le mythe de la réalité.
Gardien : (souriant) Je peux respecter votre approche, Professeur. Si vous pouvez éclairer le passé avec la lumière de la raison, alors notre mission aura été un succès.
Professeur Archibald : (avec détermination) C'est ainsi que nous avancerons, en gardant un esprit ouvert et critique. Ensemble, nous pourrons démystifier l'histoire tout en préservant le respect pour les connaissances qui ont été transmises à travers les âges.
(Le Professeur Archibald, Charlotte et le Gardien sont toujours rassemblés autour de la table, absorbés par leur discussion.)
Professeur Archibald : (examinant le manuscrit) Mes chers amis, nous avons entre les mains un trésor de connaissances anciennes. Cependant, il est impératif de ne pas laisser notre imagination s'emballer. Nous devons aborder cette découverte avec un esprit critique et méthodique.
Charlotte : (sérieuse) Je suis d'accord, Professeur. Nous ne devons pas tomber dans le piège de l'excès de romantisme.
Gardien : (réfléchissant) Mais comment pouvons-nous savoir quels éléments de cette histoire sont vrais et lesquels sont exagérés ?
Professeur Archibald : (déterminé) C'est là que notre quête entre en jeu. Nous allons travailler ensemble pour analyser ce manuscrit, comparer ses informations avec d'autres sources et démêler le fil de la réalité à travers le tissu de la légende.
(Soudain, un bruit retentit de l'autre côté de la faculté. Les trois se tournent vers l'origine du bruit.)
Charlotte : (inquiète) Qu'était-ce que ça ?
Gardien : (s'approchant de la source du bruit) Restez ici. Je vais voir ce qui se passe.
(Le Gardien s'avance prudemment vers la zone d'où provient le bruit. Dès qu'il est sorti, des bruits de bagarre et des cris incompréhensibles se font entendre. Soudain, il revient, tenant un vieux coffre en bois sculpté à la main.)
Professeur Archibald : Mais qu'était-ce que ce bruit et ces cris ?
Gardien : Rien de grave, c'est un chat qui s'est permis d'entrer sur mon territoire, malchanceux.
Charlotte : Vous êtes brave.
Gardien : Regardez ce que j'ai trouvé. Ce coffre était caché dans un recoin oublié de la faculté où le pauvre chat m'a entraîné lors de la bagarre.
(Le Professeur Archibald et Charlotte s'approchent du Gardien et observent le coffre avec curiosité. Le Gardien ouvre délicatement le coffre, révélant des objets anciens, parchemins, bijoux et artefacts.)
Professeur Archibald : (émerveillé) C'est incroyable. Ces artefacts pourraient nous fournir des indices supplémentaires sur l'histoire de la confrérie et sur la manière dont elle est liée à cette faculté.
Charlotte : (examinant les objets) Chaque artefact a une histoire à raconter. Peut-être qu'en les étudiant, nous pourrons en apprendre davantage sur les membres de la confrérie et leurs motivations.
Gardien : (souriant) Cela semble être le début d'une nouvelle aventure, une aventure qui allie la science et la passion pour le passé.
Professeur Archibald : (déterminé) Oui, et avec nos compétences combinées, nous pourrions enfin démêler les faits de la fiction, éclairant ainsi l'histoire de cette faculté et de la confrérie.
Charlotte : (enthousiaste) Nous honorerons leur mémoire en poursuivant cette quête de connaissance, tout en restant fidèles à la rigueur scientifique. (On entend à nouveau le bruit, la voix du chat.)
Gardien : Non, pas vrai. Il est revenu. (vers les coulisses) Tu veux la guerre, alors je suis là pour toi... (Le Gardien se dirige vers le bruit)
Charlotte : (à Gardien) Attendez, nous avons une mission plus importante...
Professeur Archibald : Alors, nous allons terminer cette histoire et ensuite nous recommencerons la nouvelle... Charlotte, en route ! (Le Professeur Archibald et Charlotte se serrent la main, scellant leur engagement à poursuivre cette nouvelle quête ensemble. Noir.)
Voix off : Miaou... ha-ha-ha !
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